Simone Veil a-t-elle sa place au Panthéon?

Comment une femme qui a survécu aux camps peut-elle à son tour condamner à mort les nouveaux-nés issus d'avortement? Comment une femme de grande culture a-t-elle pu renoncer à sa judéité pour entrer dans une secte issue du mouvement maçonnique et renoncer au cinquième Commandement "Tu ne tueras point"? Et si elle a sa place uniquement en tant que survivante des camps, alors d'autres survivants doivent la rejoindre et un mausolée doit y être construit. Mais on ne peut honorer quelqu'un qui s'est trompée et dont les conséquences ont été dramatiques. Car ce n'est pas la défense des libertés qui est en cause mais l'absence de soins appropriés au nouveau-né issu d'avortement que l'on traite comme un déchet ou un tissu malade. Même Jarvis Thompson, ardente défenseresse de l'avortement reconnaît implicitement (par les comparaisons qu'elle fait) que le nouveau-né issu d'un avortement est bien un être humain. Le traitement réservé au nouveau-né issu d'avortement est absolument scandaleux : quand il n'est pas considéré comme un déchet ou tissu malade, il est utilisé pour des expériences médicales douteuses appelées "cellules souches". L'influence de la secte maçonnique Il faut rappeler que ce sont les francs-maçons qui ont fait voter des lois autorisant l'avortement et la condamnation à mort de l'enfant nouveau-né issu d'une opération chirurgicale contraire au serment d'Hippocrate : Simone Veil en France et Roger Lallemand en Belgique. Un médecin n'a pas le droit de laisser mourir son patient, c'est bien ce que font les avorteurs-médecins qui sciemment (ou non?) ont négligé des techniques médicales élémentaires telles la couveuse ou l'utérus artificiel. Le meurtre d'un enfant est en tout point similaire au rituel d'une messe noire. Déjà dans l'Antiquité, les Carthaginois condamnaient les enfants à mort pour implorer leurs dieux dans un rituel tellement atroce que les Romains décidèrent de détruire entièrement cette Carthage maudite. Caton l'Ancien terminait chacun de ses discours par une phrase devenue célèbre : "Et Carthago delenda est" (il faut détruire Carthage).