Géo Politique et Société

Cette photo a été prise le 8 décembre 2017 et recadrée fallacieusement par le journal Libération. Ce recadrage laisse croire que la soldate israélienne menace un vieillard palestinien alors qu’en fait il demande un renseignement. Les personnages en arrière-plan auraient été effrayés en cas d'action violente, ce n'est pas le cas. Le fait de gommer les personnages en arrière plan donne à la photo un caractère plus dramatique. Selon Info Equitable, "Des photos de la même scène, prises par d’autres photographes et sous un cadre différent, nous ont conduit à critiquer cette une de Libé en estimant qu’elle relevait pour le moins d’une manipulation" . La technique du recadrage Cette technique du recadrage permet de donner une intensité dramatique là où il n'y a aucun drame. Cela fait vendre des journaux, cela fait sensationnel. Cela s'appelle une manipulation médiatique. Lorsque des journaux officiels qui ont pignon sur rue se mettent à faire une telle désinfo

Le statut juridique de l’enfant à naître Le projet de loi C-484 du Canada étend le statut juridique de l’enfant à naître (ou enfant non encore né), et, s’il est voté, reconnaîtra le foetus comme un être vivant à part entière. Dans ses alinéa, ce projet de loi interdit notamment, dans le cas où une agression physique se ferait envers un enfant à naître, que l’argument que le foetus ne serait pas un être vivant puisse être utilisé en justice. Les mauvais arguments de Jarvis Thompson et leur contre-argumentation Jarvis Thompson fait l’expérience par la pensée qu’une femme qui serait enlevée et contrainte de force à mettre son rein (avec un système complexe de tuyaux) au service d’un patient qui mourrait sans cela serait dans la situation d’une femme à que l’on obligerait à tenir l’enfant qu’elle porte. Jarvis Thompson prétend que la liberté du patient est inaliénable dans les deux cas. Les deux cas ne sont évidemment pas comparables. Dans le premier cas, il y a contrainte alors qu

Vous croyez encore tout ce qu'on vous dit à la télé? Alors regardez ceci : la photo diffusée dans la presse télévisuelle qui n'est en réalité qu'une falsification. Les chefs d'état n'ont jamais défilé lors de la marche d'hommage aux victimes de Charlie Hebdo. Et pour cause, les chefs d'état ne se déplacent jamais sans garde du corps. En réalité les gardes du corps étaient bien là, c'étaient les cinquante figurants entourant les chefs d'état pour la photo destinée à tromper le public. Quelques jours plus tard on voit un reportage télé de Benjamin Nethanyahou en visite à l'hyper casher, où une tuerie fut commise, accompagné de six gardes du corps portant des fusils mitrailleurs.

La désinformation médiatique. Dans un article, les media de vérification reconnaissent que la photo a été prise lors d'un naufrage. Cela ne change rien à la manipulation médiatique. Recadrer une photo pour faire croire qu'il s'agit d'un naufrage de migrants en haute mer alors que les gens ont pied est bien une manipualtion. Qu'il s'agisse de naufragés recueillis ou d'une mise en scène avec des acteurs ne change rien à la technique de recadrage destinée à manipuler l'opinion. La fabrication de fausse compassion. Regardez bien la photo réelle et celle recadrée par les media. Dans la première, on voit bien que les migrants ont pied (regardez le personnage au bout de la flèche rouge) et qu'il s'agit d'une mise ne scène destinée à susciter la compassion des Européens. Dans la seconde on croit voir un naufrage qui n'est que purement imaginaire. Il s'agit bien d'une falsification. Voilà comment les media essaient de nous manipuler.