Le mythe de l'immigration facteur de richesse et créatrice d'emploi

L'immigration choisie qui consiste à accueillir des populations qualifiées génère bien le plus souvent de la richesse et des emplois. L'exemple le plus couramment cité est l'immigration russe après 1917. L'immigration choisie de populations sous-qualifiées que nous voyons actuellement est de nature tout à fait différente. La politique économique de l'endettement des états Beaucoup d'analystes, majoritairement de gauche, ont une attitude hostile vis-à-vis de Donald Trump et de Vladimir Poutine, et parlent souvent d' "esprit de résistance". Mais nous ne sommes plus pendant la seconde guerre mondiale mais plutôt à bord du Titanic qui se dirige droit sur l'iceberg. L'immigration qui serait dans tous les cas de figure une richesse qui créerait des emplois est un mythe inventé par les tenants de la politique économique de l'endettement des états. En ce moment en France, Macron parle d'immigration de peuplement, Bayrou de submersion migratoire et Camus de grand remplacement. Des mots différents pour qualifier une immigration massive, choisie et organisée qui ne crée malheureusement aucun emploi, mais bien du travail dans les mafia et dans la délinquance qui augmente le PIB. L'immigration choisie parmi des populations sous-qualifiées est destinée à faire pression sur les bas salaires mais pas à créer des emplois. L'immigration de peuplement n'est rien d'autre que la volonté des élites maastrichiennes de favoriser la croissance démographique pour contrebalancer la politique de dénatalité (contraception, avortement, propagande LBGT, transgenrisme et transhumanisme), elle-même nécessaire pour continuer la politique d'endettement des états et de justifier les emprunts auprès des banques. Et tout le problème est là : c'est la politique maastrichienne (j'emprunte ce terme à Michel Onfray) qui est responsable de tous les maux et qui nous mène droit dans le mur. A causes des guerres menées par l'Europe, Ukraine et guerre bactériologique Sars-Covid avec confinement militaire, la croissance économique est en panne. Alors pour rembourser les dettes, il faudra d'années en années supprimer de plus en pus d'avantages sociaux, de postes de fonctionnaires et lever de pus en plus de taxes et d'impôts nouveaux. On va dans le mur. Alors il y a ceux qui essaient une nouvelle politique. Donald Trump aux Etats-Unis avec sa réduction massive des déficits et sa politique protectionniste et Vladimir Poutine en Russie avec son projet de développement des BRICS. Je ne sais pas si ces politiques-là sont bonnes ou non, il faudrait en faire une étude approfondie. Ou en trouver une nouvelle. Mais continuer à jouer du violon pendant que le navire se dirige droit sur l'iceberg, ce n'est pas la bonne solution.