Avortement et déni de droit

La récente inscription de l'IVG dans la constitution française constitue bien évidemment un déni de droit. A partir du moment où le médecin coupe le cordon ombilical, il provoque la naissance de l'enfant. Même Jarvis Thompson, défenseuse des droits de l'homme et de l'avortement, reconnaît implicitement le statut d'être humain à l'enfant issu d'avortement. Nous ne sommes plus dans les années septante où l'enfant à naître était considéré comme un déchet ou comme un tissu malade et où la mère et le médecin avaient droit de vie et de mort sur le nouveau-né issu d'avortement. Homicide involontaire Dès l'instant où l'enfant devient autonome, le médecin a l'obligation de le secourir. S'il ne le fait pas, il est coupable de non-assistance à personne en danger et doit être poursuivi pour homicide involontaire. Et c'est le cas maintenant où les avorteurs-médecins refusent d'utiliser l'utérus artificiel qui pourrait sauver des vies. Utérus artificiel et vaccination Les media de grand chemin, alias les media des milliardaires, parlent très peu de l'utérus artificiel. Et pour cause, cela reviendrait à révéler que des bébés issus d'avortement ont été utilisés pour développer des virus in vivo pour l'industrie militaire et ensuite afin de créér des vaccins pour l'industrie pharmaceutique. Les premiers utérus artificiels datent des années septante et leur utilisation pour créér des vaccins date des années quatre-vingts. Ce n'est donc pas nouveau comme le prétendent à tort les media de propagande. L'expérience par la pensée de Jarvis Thomson Jarvis Thompson propose l’expérience de pensée d’un kidnapping d’une jeune femme que l’on force, après endormissement, à faciliter la survie d’un mourant par le biais d’un transfert sanguin d’un corps à un autre. Cette survie est assurée par des tubes ou cathéters. A son réveil la jeune femme réclame sa liberté de mouvements. Jarvis Thompson compare donc l’avortement à un tel cas où la liberté de mouvements s’oppose à la survie d’un individu. Remarquons qu’en effectuant une telle comparaison, elle reconnaît que l’enfant à naître est non seulement un être vivant mais en plus un être vivant conscient. Et que dans les deux cas, il y a dépendance d’une tierce personne pour assurer la survie du mourant ou de l’enfant à naître. L'influence pernicieuse des sectes La secte qui a bâti les Georgia Guidestones a eu une influence considérable auprès de nombreux eugénistes qui prônent la dépopulation. Les sectes lucifériennes voient dans l'avortement une "messe noire modrene" où le sacrifice d'enfants n'est plus ritualisé mais devenu une chose banale. Les sectes maçonniques, dont certaines se disent ouvertement lucifériennes, défendent l'avortement dans les pays de culture judéo-chrétienne par le biais de leurs représentants : Simone Veil en France et Roger Lallemand en Belgique. Le suprémacisme droitsdelhommiste Le suprémacisme droitsdelhommiste consiste à considérer que les droits de l'homme sont supérieurs à tout et même à la sécurité. Ces suprémacistes n'hésitent pas à sacrifier la sécurité pour consacrer les droits de l'homme. Là pù Jésus avait supprimé les sacrifices humains (qu'on le considère comme pholosophe ou comme Messie ne change rien), les suprémacistes les réintroduisent avec l'avortement. Dans un autre registre ces suprémacistes sont aussi opposés à l'arrestation de terroristes détenant des otages, car pour eux le crime n'est pas encore commis. Nous l'avons vu à l'oeuvre cette doctrine suprémaciste au Bataclan où un escadron du GIGN était sur place et où les dirigeants ont refusé de donner l'ordre d'intervenir. Pourtant, ils auraient pu sauver des vies. Mais les sectes n'auraient pas eu leur sacrifice. Illustration Des centaines de personnes ont manifesté en janvier 2024 à Paris contre l'inscription de l'IVG dans la constitution française. Ces personnes s'opposent à l'hypocrisie qui consiste à faire croire aux gens que le refus de sauver l'enfant est un droit alors qu'il s'agit d'un homicide pratiqué par une partie du corps médical