L'enquête parlementaire sur les attentats du 13 novembre 2015 à Paris

La France arrête des terroristes puis les relâche (complicité de terrorisme?) Dans le rapport de la commission d’enquête sur les attentats, M. Alexis Lebrun, membre de l’association « Life for Paris – 13 novembre 2015 » témoigne : Je me trouvais dans la fosse du Bataclan le 13 novembre dernier, où j’ai attendu la mort pendant une heure et demie avant que l’intervention miraculeuse d’un commissaire ne vienne me sauver et me permette de vous parler aujourd’hui. Le 18 septembre 2015, le quotidien Le Figaro révélait, via une information de BFM TV, qu’un djihadiste français de retour de Syrie pour commettre un attentat dans une salle de concert a été arrêté mi-août 2015 par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Au lendemain des attentats du 13 novembre, Marc Trévidic, ancien juge antiterroriste, a affirmé qu’il avait auditionné ce terroriste présumé qui aurait évoqué l’idée d’un attentat dans une salle de concert. À la fin du mois d’août 2015, M. Trévidic est invité à quitter ses fonctions malgré cette menace. Ce mouvement était-il opportun ? Ce même 18 septembre, un journaliste de RFI spécialiste du djihadisme, M. David Thomson, évoquait l’arrestation de cet homme et une affiche de propagande djihadiste incitant à faire exploser des grenades dans des salles de concert. Le 7 janvier 2016, le quotidien Le Monde a publié une enquête sur le parcours de cet homme ; celui-ci y explique avoir reçu, de la part de l’un des coordinateurs des attentats du 13 novembre, la mission de commettre une attaque en France lors d’un concert de rock. L’homme arrêté avait affirmé aux enquêteurs que cela allait se produire très bientôt. Le mode opératoire décrit lors de ces auditions correspond exactement à celui utilisé par les auteurs des attentats du 13 novembre 2015. Quelles mesures ont été prises dans l’intervalle pour assurer la sécurité des salles de concert ? Trois mois après cette arrestation et deux mois après ces révélations, la menace est mise à exécution au Bataclan, dans des terrasses parisiennes et au Stade de France. Le 13 novembre 2015, le Bataclan affichait complet et accueillait plus de 1 500 personnes, mais aucune mesure de sécurité n’a été déployée pour ce concert : il n’y avait aucune présence policière ou militaire devant la salle et aucune fouille n’a été effectuée. Au regard de la menace sérieuse, avérée, répétée et connue des services de renseignement, comment est-il possible que l’une des plus grandes salles de concert de Paris n’ait pas bénéficié des mêmes mesures de protection que celles déployées autour de certains lieux dits sensibles après les attentats de janvier 2015 ? Comment le plan Vigipirate, alors à son niveau le plus élevé, ne pouvait-il pas prévoir de mobiliser quelques hommes devant des salles accueillant des centaines ou des milliers de personnes ? Qui a décidé des endroits devant être protégés dans le cadre de Vigipirate ? Comment étaient déployées les forces du plan Vigipirate le 13 novembre 2015 ? Pourquoi certains lieux sont-ils protégés 24 heures sur 24 même lorsqu’ils sont vides, alors que d’autres sont délaissés quand ils sont remplis ? A-t-on sous-estimé cette menace ? On connaît le résultat : 130 personnes ont été assassinées le 13 novembre 2015 et des milliers d’autres ont été blessées physiquement ou psychologiquement. Malgré le maintien du plan Vigipirate à son niveau le plus élevé et la mise en place de l’état d’urgence, nous constatons que les lieux recevant du public ne semblent pas bénéficier aujourd’hui d’une protection renforcée. Peut-on dans ces conditions considérer que toutes les actions et décisions adaptées ont été mises en œuvre en 2015 ? Y a-t-il eu acte de barbarie? Selon le média de réinformation Breiz Atao, le gouvernement français aurait tenté de censurer toutes les informations relatives aux tortures infligées aux victimes des attentats du Bataclan, le 13 novembre 2015, dans le but de protéger les musulmans avec lesquels les autorités françaises ont une alliance stratégique. Le président Fenech évoque toutefois qu’à une victime « on lui aurait mis les testicules dans la bouche ». L’interprétation donnée par Breiz Atao est qu’il s’agit d’une pratique courante du FNL algérien et que cela a été filmé par Daesh. Y a-t-il eu censure de la part des autorités? La commission d’enquête révèle que l’Etat français a refusé de présenter certains corps aux victimes, usant de l’argument que des corps avaient été égorgés, décapités, éviscérés et que des femmes avaient reçu des coups de couteau au niveau des parties génitales Cet argument est généralement utilisé pour éviter les autopsies. Tout cela indique au mieux un malaise au pire une envie de vomi Les manquements de l’enquête L’ enquête fait état du fait que les couteaux des djihadistes n’ont pas été retrouvés. C’est sans doute la raison qui a poussé la gauchosphère aux ordres des lobbys pro-islamistes ou pro-pétroliers à snober les tortures qu’ont très probablement subi les victimes avant de mourir par explosion. Quelques hypothèses à envisager: 1) Dans la confusion le ou les couteau(x) vole(nt) sous un meuble ou dans un recoin. Soit il est toujours là, soit il a été emporté. 2) Le personnel de nettoyage a emporté les couteaux 3) Un djihadiste infiltré dans la police ou l’administration a récupéré une arme qui peut encore servir. Le président de la commission d’enquête a visiblement baclé son travail, il aurait dû explorer ces hypothèses. La non-intervention de militaires de l'Opération Sentinelle Les militaires de l'Opération Sentinelle présent sur les lieux ont reçu l'ordre de ne pas intervenir. C'est particulièrement choquant. Voir aussi *Article de Breiz Atao * Rapport de l'assemblée Nationale

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