Les lycées à population remplacée : ce n’est pas ce qu’on pourrait croire

. L’ascenseur social est en panne On pourrait croire qu’avec une bonne formation, ces jeunes issus de la diversité (selon la vision plus étroite qualifiée de politiquement correcte) ou de l’immigration massive et organisée (selon une vision plus holistique qualifiée d’anti-mondialiste) ont une quelconque chance sur le marché du travail. Les politiciens avides de pouvoir qui vantent le multiculturalisme et l’immigration massive n’ont de cesse que d’inaugurer de nouveaux centres culturels «de là-bas» ou de nouveaux lieux de cultes (comme s’il fallait remplacer ceux déjà existant) mais ne se préoccupent nullement de la qualité de l’enseignement (la Belgique francophone est avant-dernière aux tests PISA) ni de la remise à niveau d’individus ayant un retard scolaire. Ces politiciens-là disent que tout va bien, flattent leurs nouveaux électeurs mais se moquent éperdument de l’intégration réelle de ceux qu’ils appellent «les nouveaux arrivants». Car sinon, ils donneraient une réelle chance d’intégration par le travail et les ghettos bruxellois n’afficheraient pas un taux de chômage avoisinant les 30% (la situation est pire encore dans les banlieues françaises où ce taux dépasse les 50%). Ce n’est pas ce qu’on pourrait croire : les Bruxellois (les Belges en général) ne sont pas racistes. La différence du taux d’emploi entre autochtones et allochtones s’explique majoritairement par la sous-qualification des candidats à l’emploi et non par le racisme des embaucheurs. Cela n’empêche nullement certains politiciens avides de réélection de sombrer dans le déni, de continuer à accuser les Bruxellois de racisme et de discrimination à l’embauche et de promouvoir l’apprentissage de l’arabe à l’école alors que la connaissance du français et du flamand est très souvent lacunaire et cause de non-engagement. Il faut savoir que le gouvernement flamand va cesser de subventionner l’association UNIA qui lutte contre les discriminations justement parce qu’il se préoccupait plus de questions dérisoires comme la couleur du Père Fouettard dans les entreprises que de réellement défendre les individus victimes de discriminations. Preuve en est qu’après examen des dossiers, peu de cas s’avèrent être de réelles discriminations, beaucoup de plaignants invoquant leurs origines comme cause de non-emploi pour masquer leur sous-qualification. La paupérisation de la population «n’est pas si grave» pour une certaine oligarchie «C’est pas si grave» est une antienne que l’on entend à tire-larigot aussi bien sur les ondes des chaînes privées ou nationales, comme si l’indifférence affichée de l’oligarchie envers les souffrances du peuple était devenu une évidence. Les viols collectifs de Cologne et de Zurich, «ce n’est pas si grave» ; les agressions au couteau «ne sont l’oeuvre que de déséquilibrés» ; et les lycées à population remplacée n’existent «que dans l’imagination de complotistes» (que le politiquement in⋅correct assimile aux partisans de la théorie du complot). Le remplacement de population dans des quartiers entiers de grandes villes, visible dans les photos de classe des lycées, et la paupérisation qui s’en suit, n’est pas perçue comme dramatique par une certaine oligarchie qui contrôle les media et les organes de presse tant nationaux que privés. Que du contraire même, puisque certains ne se cachent même plus et disent ouvertement que l’immigration massive est destinée à faire pression sur les bas salaires. Pression à la baisse sur les bas salaires dit aussi pression à la baisse sur les salaires moyens, seuls pouvant échapper à cette tendance étant les hauts salaires. Si plus des trois quarts de la population voit son salaire menacé ou tiré vers le bas, on peut alors parler d’un phénomène de paupérisation de l’économie européenne. Ce n’est pas ce qu’on pourrait croire, l’immigration choisie n’est pas celle des «médecins et des avocats» mais au contraire celle des sous-qualifiés destiné à faire un nivellement par le bas. Un enrichissement uniquement pour une certaine oligarchie. Collectivement, les programmes d’intégration sont des échecs L’intégration se faisant principalement par le travail et la vie associative où la pratique du français (ou du néerlandais en Belgique flamande) permet au nouveau venu de se socialiser, force est de constater que les vagues de délocalisations d’entreprises causant du chômage massif ont énormément remis en question ce processus. Des politiciens se croyant plus intelligents que d’autres se sont mis à élaborer des «programmes d’intégration» destinés à ceux qui continuaient d’arriver et qui ne pouvaient que grossir les rangs du chômage ou de la précarité. Étonnant que ces prétendues «grandes intelligences» ou «élites» n’aient pas vu que le moule de l’intégration était cassé avec celui de la socialisation par le travail. Ce n’est pas ce qu’on pourrait croire, l’échec des programmes d’intégration n’implique pas l’échec de l’intégration individuelle. Il y a des personnes qui s’intègrent parfaitement, quelle que soit leur origine. Mais ils sont porteurs d’une volonté de s’intégrer, ce qui n’est pas le cas de toutes et tous. Celles et ceux qui crachent sur leur pays d’accueil ne manifestent évidemment pas une telle volonté. En finir avec la politicaillerie Il y a des politiciens honnêtes et il y a des politiciens avides de pouvoir et prêts à tout. Jadis, les hommes d’état, comme on les appelait, avaient le sens du devoir et défendaient l’intérêt commun. Aujourd’hui, les lobbys arrosent les politiciens de tout bord afin qu’ils défendent des intérêts particuliers. L’Open Society de George Soros publie même les noms des politiciens européens qui sont à sa solde. Quand on sait que l’Open Society a financé le coup d’état ukrainien en soutenant les factions extrémistes proches des néo-nazis et qu’elle soutient et finance indirectement (par son aide apportée) les milices terroristes libyennes, on a de quoi être inquiet. Le citoyen est las de toutes ces magouilles. Ce n’est pas ce qu’on pourrait croire : il y a encore des politiciens honnêtes. L’impérialisme saoudien n’apporte rien de bon L’excellent ouvrage de Bat Ye’or «Eurabia» [1] a très bien mis en exergue les pactes pétroliers qui échangent de l’or noir bon marché en provenance des émirats contre contre ce qu’ils appellent «l’enrichissement culurel islamique» et qui n’est rien d’autre qu’une forme déguisée d’islamisation forcée de l’Europe dans sa version la plus totalitaire, c’est-à-dire salafiste. Le reportage «Qatar Papers» [2] de Georges Malbruno diffusé sur Arte montre bien le financement occulte des mosquées salafistes en France et en Europe par le Qatar. Ce n’est pas ce qu’on pourrait croire, le développement du radicalisme religieux et du fanatisme n’est pas le fruit du hasard mais bien le résultat d’une volonté. En finir avec la dhimmitude de certains politiciens Durant la deuxième guerre mondiale, certains européens, Français, Belges, Espagnols, Italiens, ... avaient choisi par lâcheté ou par opportunisme économique de se soumettre à l'occupant allemand. Aujourd'hui, certains politiciens européens ont choisi la soumission face à l'impérialisme saoudien et au whahabbisme. Cette dhimmitude s'est concrétisée par les directives Eurislam qui nient tout processus d'intégration en permettant aux nouveaux arrivants de coloniser culturellement le pays d'accueil. Références [1] Eurabia, Bat Ye’or, Editions Jean-Cyrille Godefroi, 2014 [2] Qatar Papers, George Malbruno, diffusé sur Arte

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