Avortement et déni de droit

La récente inscription de l'IVG dans la constitution française constitue bien évidemment un déni de droit. A partir du moment où le médecin coupe le cordon ombilical, il provoque la naissance de l'enfant. Même Jarvis Thompson, défenseuse des droits de l'homme et de l'avortement, reconnaît implicitement le statut d'être humain à l'enfant issu d'avortement. Nous ne sommes plus dans les années septante où l'enfant à naître était considéré comme un déchet ou comme un tissu malade et où la mère et le médecin avaient droit de vie et de mort sur le nouveau-né issu d'avortement. Homicide involontaire Dès l'instant où l'enfant devient autonome, le médecin a l'obligation de le secourir. S'il ne le fait pas, il est coupable de non-assistance à personne en danger et doit être poursuivi pour homicide involontaire. Et c'est le cas maintenant où les avorteurs-médecins refusent d'utiliser l' utérus artificiel qui pourrait sauver des v...